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Vendredi prochain, je présenterai au Lindo Café, deux séries de photographies réalisées dans les années 80 :
Des tirages numériques d’après négatif de musiciens et chanteurs populaires à cette époque
et des tirages argentiques originaux autour du thème de la féminité …
L’occasion pour ceux qui apprécient mes images de les voir non plus sur un écran, mais dans leur forme matérielle :—)
Il y aura aussi des images projetées, RIM Laurens pour l’ambiance sonore
et Sandrine, l’ange souriant de ces lieux pour nous régaler avec ses vins et ses tapas …
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La lumière et les ombres qu’elle provoque, un thème qui me passionne …
Des instants privilégiés forcément, car leur magie est éphémère, précieuse donc !
Elle nous remet en mémoire notre humble statut au sein d’un univers
dont nous ne connaissons pas les limites, surtout à l’heure où notre civilisation,
de plus en plus fragilisée par sa croissance aveugle,
semble tentée de nous faire oublier la réalité
et le mystère de notre présence sur terre …
Le temps passe mais il est toujours là …
Jeté là, le chagrin resplendit …
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Quelques coup d’œils du côté de la mairie avec l’atelier batterie de Vincent,
un petit tour aux Grand Soleil des Chalets, où l’Atomic Jazz de Jules charme les nappes avec ses cuivres,
pour revenir au village enthousiasmé par le chanteur occitant Claude Marti et ses musiciens …
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Le Aylic Marin est un vieux gréement centenaire rempli d’histoire,
pour lequel Fafa, Jean-Phi, Bernardo et Stéphane se sont épris d’une passion
qui dure pour ce bateau ; et après cinq années au sec, c’est enfin le moment de le mouiller …
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De toutes part ils arrivent et vont déambuler, boire, manger, parler, rire et peut-être lever les bras et danser !
D’autres sont là pour les satisfaire et d’autres encore pour organiser ou protéger tout ça, question de savoir faire.
Et moi, et moi, et moi
J’les photographie
C’est la, c’est la vie …
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Le propos n’était pas de «couvrir» l’événement sportif …
Connaissant mal cette discipline et n’étant pas équipé de longue focale,
je décide de plonger dans cet univers de couleurs entre mer et sable,
de me baigner dans la lumière crue qui multiplie les reflets,
de musarder au gré du vent, de me concentrer sur ses multiples
effets sur les choses, les animaux et les gens.
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Sur une invitation de Gilbert Corbières — photographe de plateau de ce tournage —,
une agréable matinée sur le plateau du film «Du bleu au dessus des toits…»
Réalisateur : Stéphane Kowalczyk, Son : Nathalie Masek
Acteurs principaux : Patrick Milani, Michel Sidobre & Serge-Elie Masson
Photographe de plateau : Gilbert Corbières
Lieu du tournage : Église de Mirepeisset – Aude